ÉLÉGANCE ÉLÉMENTAIRE :
SCULPTURES EN BRONZE D’ISABELLE SCHELTJENS
Une nouvelle dimension
Après plus de dix ans d’une glorieuse carrière, Isabelle Scheltjens continue de surprendre le monde de l’art. Ses mosaïques de verre emblématiques ont établi sa réputation, mais alors que ses portraits étaient autrefois confinés à un plan bidimensionnel, ils s’épanouissent aujourd’hui dans une évolution spatiale vers des sculptures tridimensionnelles en marbre et en bronze. Son art évolue et se transforme dans une démarche audacieuse mais logique dans sa quête incessante de nouvelles perspectives.
Un langage sculptural réinventé
Là où la sculpture traditionnelle s’efforce d’être harmonieuse et reconnaissable, Isabelle réécrit le langage de la sculpture. Elle déforme, étire et abstrait ses visages emblématiques en un fascinant trompe-l’œil. Ses sculptures défient non seulement les limites de la forme, mais aussi celles de la perception : qu’est-ce que la beauté ? Qu’est-ce que la réalité ?
De la surface à la forme
Avec cette métamorphose spatiale, elle stimule l’imagination du spectateur et prouve une fois de plus sa capacité inégalée à insuffler du mouvement dans l’art : du statique au dynamique, du vu au ressenti, de la surface à la forme.
SCULPTURES EN BRONZE D’ISABELLE SCHELTJENS
Une nouvelle dimension
Après plus de dix ans d’une glorieuse carrière, Isabelle Scheltjens continue de surprendre le monde de l’art. Ses mosaïques de verre emblématiques ont établi sa réputation, mais alors que ses portraits étaient autrefois confinés à un plan bidimensionnel, ils s’épanouissent aujourd’hui dans une évolution spatiale vers des sculptures tridimensionnelles en marbre et en bronze. Son art évolue et se transforme dans une démarche audacieuse mais logique dans sa quête incessante de nouvelles perspectives.
Un langage sculptural réinventé
Là où la sculpture traditionnelle s’efforce d’être harmonieuse et reconnaissable, Isabelle réécrit le langage de la sculpture. Elle déforme, étire et abstrait ses visages emblématiques en un fascinant trompe-l’œil. Ses sculptures défient non seulement les limites de la forme, mais aussi celles de la perception : qu’est-ce que la beauté ? Qu’est-ce que la réalité ?
De la surface à la forme
Avec cette métamorphose spatiale, elle stimule l’imagination du spectateur et prouve une fois de plus sa capacité inégalée à insuffler du mouvement dans l’art : du statique au dynamique, du vu au ressenti, de la surface à la forme.
